A bois ou à charbon…
Je vais finir par devenir une usine à chaussons à moi toute seule…
La production a doublé en quelques jours!!!
Résumons : une journée = 24heures
Si j’enlève 8 heures de sommeil (ça, c’est dans mes rêves les plus fous !), plus les heures où je suis sollicitée par sa Sérénissime Altesse bébé, me reste… Peu de temps !
Et dans ce peu de temps, je dois caser la conception desdits petits chaussons !
Forcément, quand les amies commencent à en commander plusieurs paires, parce que ceux de fi-fille sont super, mais trop petits, qu’il y a des naissances de prévues et que c’est parfait comme cadeau, parce que c’est sympa, ça fait fureur, ça tient bien et c’est pas cher, parce que…
Bref, vous l’aurez compris, je commence à comprendre pourquoi on finit toujours par faire des productions en usine quand les commandes sont importantes !
N’empêche, j’en approche dangereusement…
Et tant qu’à y être jusqu’au cou, j’en profite pour refaire une paire au crapaud qui grandit des pieds aussi, lui… Damned ! Ca va nous emmener où, ça ?
Après avoir pris les mesures sur les modèles, ceux de la miss seront en tissu avec semelle cuir pour plus de résistance face aux crapahutages intempestifs et ceux de sa Sérénissime Altesse en cuir kaki (parait que c’est le nouveau noir…).
Et juste au cas où je m’ennuierais, voilà qu’en plein lancement de production, les copines de passage se chargent à leur tour de passer une commande supplémentaire, genre deux paires de plus !
Tant qu’on tient le fil…Ne perdons pas le bout !
Et aussi, mais ça, c’est juste parce qu’aux dernières nouvelles, la journée s’est rallongée d’une heure, une commande pour une turbulette version été pour une demoiselle à la chambre ultra girly, toute rose !
Quoi d’autre que du Liberty dans ce cas là, hum ?....
Que c’est bon de travailler que je vous dis…